Par Girondine

A découvrir : une liste de ceux qui ont été appelés des « demi-soldes ». Sous officiers ou officiers de l’Empire, ils avaient été licenciés de l’armée après la chute de Napoléon. Rentrés chez eux ou restés sur place, il leur a fallu composer avec une nouvelle vie et maigre retraite.

A Bordeaux, il y a deux cents ans, une journée mémorable.

Par Girondine

« On s’embrassait de joie. On disait aux enfants « Désormais, vous nous resterez ». On faisait des cocardes blanches avec du papier ; on en faisait en déchirant son mouchoir. C’était une rage ; tout le monde se vouait au blanc et l’enthousiasme était indescriptible. Le haut commerce, le petit commerce, la bourgeoisie et le peuple, les marchands et les ouvriers, les grandes dames et les bonnes bourgeoises, tout était pêle-mêle, tout était confondu. On acclamait, on poussait M. Lynch... alors maire de Bordeaux qui s’avançait à cheval, les clefs de la ville sur un plateau… ».
M.F. Combes

Exemple : La Gironde

Par Girondine

« Acheter un homme » ou trouver un remplaçant...
Servir à la place d’un autre « tombé au sort »...
Le remplacement, un aspect souvent méconnu du vécu des obligations militaires au 19° siècle.

 

Par Girondine

Aux AD 33 - cote 2 R 4. On peut consulter un registre dans lequel sont portés les noms de militaires décédés des suites de blessures de guerre dans les hôpitaux de 1813 à 1816.

Par Monique Lambert

« De la nécessité de donner du vin aux soldats », tel était le titre du Mémoire de M. Faure, ancien médecin militaire.
On peut lire dans le Recueil des Actes de l’académie des Sciences, Belles lettres et Arts de Bordeaux (1849), l’analyse de cet ouvrage par M. Valat.